Violences sexuelles : à LREM, la défaillance systématique
Darmanin, Hulot, Abad : depuis 2017, le parti d’Emmanuel Macron a ignoré les accusations de violences sexuelles visant des personnalités de la majorité. Plusieurs cas à l’Assemblée l’ont illustré ces dernières années, notamment au groupe, un temps présidé par Gilles Le Gendre.
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EmmanuelEmmanuel Macron n’entend pas céder à ce qu’il qualifiait, en 2021, de « société de l’inquisition ». C’est lui qui a choisi de nommer Damien Abad au gouvernement, c’est donc lui qui décidera de son sort. Depuis quelques jours, la majorité sortante se divise sur le cas de l’ancien patron des député·es Les Républicains (LR), nommé ministre des solidarités malgré le signalement adressé à LREM par l’Observatoire des violences sexuelles et sexistes relatant des faits présumés de viols sur deux femmes.